چکیده:
Les défenseurs de l’approche communicative ont basculé ces derniers temps du côté de l’intérêt et l’explicitation de la grammaire en classe de FLE. La grammaire implicite et le passage du sens à la forme proposés par les méthodes communicatives, ne satisfont pas les contextes, comme l’Iran, éloignés du milieu francophone. Le principal objectif de ces méthodes est d’augmenter, chez l’apprenant, la capacité d’agir dans les domaines variés de la société. Cependant, cet objectif est loin d’être réalisable jusqu’au bout dans les établissements universitaires iraniens focalisés plutôt sur les textes spécialisés
et soutenus à travers lesquels se révèle le besoin de la connaissance de la grammaire, de la syntaxe, etc. L’infirmité due au manque de la maîtrise de la grammaire contraint les étudiants face à une grande partie de la finalité de leur cursus en licence et en master II, lors de la production écrite, surtout. Cet article envisage une mise en revue des savoir-faire et des savoir-savant des étudiants iraniens après les quatre premiers semestres d’apprentissage du français. Étant donné que la bonne connaissance de la grammaire est le seul moyen d’évaluer un apprenant, il faut accentuer la sévérité à leur égard et dans les tâches d’écrit.
خلاصه ماشینی:
All rights reserved Introduction L’expérience d’un grand nombre d’années de travail d’enseignant de FLE en Iran, aux différents niveaux à l’université, a permis de constater qu’un apprentissage explicite de la grammaire, bien qu’il semble parfois alourdir la tâche des apprenants, est indispensable dans l’enseignement du français langue étrangère.
Étant donné que les méthodes communicatives accordent de plus en plus de place à l’aspect communicatif et social de la langue et relèguent l’écrit et la grammaire au deuxième plan, la dimension grammaticale dans l’enseignement des langues est fortement réduite ces dernières décennies.
Les guides pédagogiques s’appuient aussi sur le fait que l’objectif principal des méthodes serait de faciliter le contact avec la société et la culture francophones et une communication fluide chez les apprenants (Berthet, 2016).
Cela revient à dire que l’enseignement/ apprentissage de la grammaire non plus ne peut en lui-même résoudre le problème de communication orale et écrite chez les apprenants de FLE dans les établissements de l’éducation supérieures iraniennes et il reste un côté culturel, linguistique, pragmatique et sémantique qui demeure à élaborer et à approfondir.
Ainsi, nous nous occuperons de la notion de compétence de communication proposée par Coste et Galisson (1976: 205- 6) et son rapport avec la didactique des langues étrangères et en particulier le problème de l’introduction de l’enseignement de la grammaire dans les cours de FLE.
(Krashen et Terrell: 1995) • Méthode communicative: l’approche communicative suppose une compétence linguistique, qui est la grammaire générative et transformationnelle: il s’agit pour nous d’une maîtrise des moyens d’expression dans les langues étrangères.